lundi 8 novembre 2010

13 novembre : journée de la gentilesse


"Avec  le Magazine Psychologies, osons la gentillesse ! Après le succès de 2009, Psychologies se mobilise, et nous mobilise pour la Journée de la gentillesse, le 13 novembre prochain.

Parce que face à l'indifférence et au manque de respect, nous possédons sans le savoir l'arme la plus efficace qui soit, notre cœur.

Alors agissons tous ensemble pour réaliser jusqu'au 13 novembre, un million d'actions pour la gentillesse ! Faites de cet objectif le vôtre et partagez-le avec votre réseau ! A vous de jouer."

Accès à la page d'accueil de Psychologies présentant cette journée

Confession d'un gentil par Christophe André
notre prochain conférencier du vendredi 19 novembre
==> lien vers la page sa conférence

Autres articles sur la gentillesse
dont le test : "êtes-vous un vrai gentil "


Quelques livres sur ce "t'aime"

"La gentillesse n'est pas un luxe mais une nécessité. C'est en nous traitant mieux les uns les autres, en traitant mieux la planète que nous pouvons espérer survivre.»

Le message de Piero Ferrucci est clair : il y a urgence à changer nos rapports avec les autres et nos modes de fonctionnement quotidien. Halte à l'individualisme ambiant !

La gentillesse et les vertus qui lui sont inhérentes - l'empathie, la générosité, la fidélité, la loyauté, la serviabilité ou encore la gratitude et le respect - peuvent apporter d'incalculables bienfaits à qui sait s'en saisir spontanément, sans en attendre de contrepartie.

La gentillesse égaye nos vies, elle apaise nos corps. Elle est une des clefs du bonheur ; du nôtre comme de celui d'autrui.

Et si nous la cultivions ensemble ? Telle est l'invitation fort pragmatique et si riche d'espérance que nous propose l'auteur.«Un beau plaidoyer sur l'altruisme, intelligemment mené et à la démonstration impeccable ! Une lecture à ne pas manquer.»"



"Méprisée par l'élite et les intellectuels, la gentillesse est aujourd'hui reléguée au rang des petites vertus.

Son histoire est celle d'un discrédit : née dans la noblesse romaine, dénigrée dans le christianisme, réhabilitée à la Renaissance, elle s'étiole comme une fleur fanée dans la démocratie marchande.

Emmanuel Jaffelin démonte les rouages de cette histoire contrariée et montre que la gentillesse est une vertu postmoderne. Entre sagesse et sainteté, elle offre aux hommes une morale praticable au quotidien et fondatrice d'un nouveau rapport à l'autre.
Vertu caressante, véritable libido voluptatis, la gentillesse forge une morale pour notre temps, à portée de main, dont les petits gestes déploient de grands effets et préfigurent l'avènement d'un nouveau gentilhomme."

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