vendredi 5 avril 2019

De la bienveillance


  "Le Petit Larousse illustré 2019 y voit  "une disposition favorable envers autrui".
"Aux yeux du psychiatre Christophe André, « c’est voir le bien chez les autres et aussi vouloir leur bien, c’est porter sur le monde un regard amical : ne jamais perdre de vue ce qu’il y a de bon, de fragile, de touchant chez les humains".

" Le mot a fait une première percée dans notre langue au 12e siècle, en 1175 précisément, dans sa définition actuelle, à savoir « le sentiment par lequel on veut du bien à quelqu’un » ...

Ce nom féminin a pris au 17e siècle « un sens plus condescendant » pour évoquer une « disposition favorable envers quelqu’un, spécialement une personne inférieure » avant de redevenir cette capacité à accueillir, sans jugement, les émotions de l’autre, à qui l’on porte une attention totalement désintéressée.

 Au bureau, mais aussi à l’école, on se préoccupe de plus en plus du bien-être de l’autre. Et tout le monde y gagne.

C’est une valeur ambitieuse qui monte, qui monte, qui monte au sein de la famille, l’école, l’hôpital. Et désormais, là où finalement on l’attendait le moins : l’entreprise.

Nouvelle arme antistress, réponse aux vagues de burn-out, la bienveillance, qui consiste à vouloir le bien de l’autre, s’invite dans ce qui est souvent perçu par le grand public comme un univers de brutes vouant un culte impitoyable au rendement."

Extraits du dossier Bienveillance dans Le Parisien" de ce jour.
Lire la suite sur le site du journal
==> Les 5 règles d'or de la bienveillance au bureau
http://www.leparisien.fr/societe/les-5-regles-d-or-de-la-bienveillance-au-bureau-05-04-2019-8046858.php

==> La bienveillance, ça paie
 http://www.leparisien.fr/societe/en-entreprise-la-bienveillance-ca-paie-05-04-2019-8046864.php